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Re-Belles. 40 ans du mouvement de libération des femmes , MLF Appellation d'Origine Incontrôlée. Objectif : FÉMINISTES TANT QU'IL FAUDRA !

• Manifs / Actions

 

*Vendredi 25 - Samedi 26 novembre

25 NOVEMBRE JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Les actions avec la Mairie de Paris

Tous les programmes

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*Vendredi 25 novembre, à 18h 

25 NOVEMBRE JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Place Igor Stravinsky

Rassemblement contre le viol

Préparer le happenig avec Osez le féminisme http:// www.emailmeform.com/ builder/form/ n50ePCGaV5OBJ4j4YRt9fIza

 

*Samedi 19 novembre 2011, à 14 heures,
Place des Innocents, Paris 75001

Appel à un rassemblement à l’occasion de l’ouverture de l’Assemblée constituante tunisienne

 

Le 23 octobre 2011, les Tunisien-ne-s brandissaient un doigt bleu,
symbole des premières élections indépendantes et démocratiques du pays.
Le peuple tunisien a élu ses représentants à l¹Assemblée constituante.
Certes, la jeune démocratie tunisienne est encore fragile et le taux
d'abstention était très élevé, mais nous avons exprimé une grande joie
en accomplissant cet acte citoyen.

 A l¹occasion de l'ouverture de l¹Assemblée constituante, nous,
militantes et militants de l'association "Uni(e)s-vers-elles ",
groupe d'étude et d'actions féministes, fidèles aux valeurs
universelles des droits humains, appelons à un rassemblement samedi 19
novembre 2011, à 14 heures, place des Innocents, à Paris, pour :

• Exiger le respect des libertés individuelles et publiques de tous les
citoyen(ne)s tunisien(ne)s sans exception ;
• Réaffirmer notre attachement sans failles aux acquis des femmes
tunisiennes, au Code du statut personnel et aux droits de l'enfant ;
• Insister sur la nécessité de la levée de TOUTES les réserves sur la
CEDAW (Convention sur l'élimination de toutes les formes de
discrimination à l'égard des femmes) ;
• Revendiquer la consécration de l'égalité réelle et effective entre les
hommes et les femmes au sein de la nouvelle Constitution.

 Face aux attaques que subissent les femmes aujourd'hui en Tunisie, nous
rappelons notre solidarité avec les luttes des femmes tunisiennes. Nous
resterons vigilant-es quant à nos droits et refuserons toute remise en
cause de nos acquis.

 

Pour information et diffusion, cet appel de l'associations tunisienne Uni(e)s-vers-elles, auquel se sont joints plusieurs partis, associations et mouvements tunisiens en France.
Le Manifeste des libertés soutient cet appel.
Tewfik Allal
Manifeste des libertés

 

*CAMPAGNE HEZ RASSEK ("Relève la tête")**    

Si vous souhaitez vous associer à cet appel, nous vous invitons à le signer

hezrassek@gmx.fr et à nous rejoindre au rassemblement.
______________________________________________

 

Liste d'information du Manifeste des Libertés

Site :  http://www.manifeste.org

 

*Premiers signataires*
Uni(e)s-vers-elles, Association des Tunisiens en France (*ATF*), Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (*FTCR*), Union des travailleurs immigrés tunisiens (*UTIT*), Union générale des étudiants tunisiens (*UGET* France), Association Aziza-Othmana, Comité pour le respect des libertés et des droits de l'homme en Tunisie (*CRLDHT*), Pôle démocratique moderniste (*PDM* France), Parti du travail tunisien (*PTT* France), Mouvement des patriotes démocrates (*MPD* France), Ettakatol (section France), Manifeste 20 Mars-France…
*Avec la solidarité de :* Collectif national pour le droit des femmes (*CNDF*), Manifeste des libertés, Pluri-elles Algérie, Initiative de femmes pour la citoyenneté et les droits universels (*WICUR*), Réseau féministe « Ruptures », Regards de Femmes, *UNEF*, Parti de Gauche, les Cahiers de la culture, Libertés-culture, Association 40 ans de mouvement…

 

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* 3 et 4 décembre 2011

ETATS GÉNÉRAUX

Collectif National pour les Droits des Femmes - CNDF

 

Programme :

Samedi 3 décembre

14h00

Accueil des participant-e-s

14h30

Ouverture des États généraux

15h00-18h30

1 — Violences sexuelles et quasi impunité : un phénomène inéluctable ?

L'actualité médiatique de ces derniers mois a de nouveau montré que les mythes autour des violences faites aux femmes sont largement répandus dans notre société. Faire connaître les violences faites aux femmes dans toute leur complexité, leur typologie et leur signification dans un système sociétal de domination masculine, est encore une tâche à accomplir. Face à cela, force est de constater l'inefficacité et l'absence de volonté du système judiciaire à appréhender les violences dont nous sommes victimes comme elles devraient l'être : des délits et des crimes contre notre intégrité !

2 — À l'heure du tout marchandise, où en est le droit des femmes à disposer de leur corps ?

Dans le système économique ultra libéral actuel cette affirmation ne tient-elle pas de la formule incantatoire ? Il faut encore et toujours se mobiliser pour défendre le droit à l'avortement et à la contraception. Quels centres IVG voulons-nous pour demain ? Les débats autour des questions de bioéthique, et notamment sur les mères porteuses, mettent en évidence les attaques contre le droit des femmes à disposer de leur corps. Le risque de marchandisation des corps, sous prétexte deconsentement et de liberté, est sérieux.

3 — Égalité dans l'emploi : un combat de Sisyphe ? travail, précarité, pauvreté

Malgré des luttes de longue date et les lois successives, le travail salarié des femmes n'est toujours pas pleinement reconnu, leurs qualifications restant considérées le plus souvent comme des qualités naturelles. L'inégalité des salaires et des retraites perdure, accentuée par les temps partiels imposés et les contrats atypiques et précaires. C'est encore à elles et à elles seules que revient de concilier vie familiale et professionnelle, avec la prise en charge des enfants et des personnes dépendantes ou en perte d'autonomie, et le travail dit domestique. Il s'agit bien d'une double journée. La casse des services d'accueil de la petite enfance (crèches, maternelles) et les projets de loi en perspective, sur la perte d'autonomie et la dépendance, annonçant la remise en cause de la Sécurité sociale, freinent encore leur accès à un emploi de qualité et à des salaires décents.

Dimanche 4 décembre

9h00

4 — Les droits des femmes : un enjeu planétaire ?

Si nous nous réjouissons de voir tomber des dictatures par la seule volonté du peuple, nous devons rester vigilantes : les Révolutions arabes en cours doivent s'accompagner de réelles avancées pour les droits des femmes ! Dans le monde des femmes s'organisent pour combattre les dominations et discriminations et exiger leurs droits, le respect de leur dignité, de leur liberté et leur place dans la vie publique.

5 — Féminisme, démocratie, libertés à l'épreuve des extrêmes droites et de l'ordre moral

Conséquence de l'instrumentalisation délibérée par les politiques à l'oeuvre de discours ouvertement racistes et xénophobes, l'extrême droite progresse sans obstacles. Il faut comprendre et analyser la situation pour mieux faire barrage à ce qui représente un danger pour les droits des femmes et la démocratie.

6 — Familles : je vous hais, familles : je vous aime

Longtemps le modèle de la famille, contractualisée par le mariage, a été construit sur la domination masculine. Aujourd'hui, avec ses nouvelles formes, la famille est-elle toujours un lieu de subordination des femmes ? Par ailleurs, longtemps défavorable aux femmes, le mariage a évolué. Toutefois, revendiqué par le mouvement homosexuel au nom de l'égalité des droits, n'est-il pas un retour en arrière, une sorte de désir d'intégration ? Ne renforcerait-il pas le patriarcat et n'oblitèrerait-il pas la revendication des droits individuels, garants de l'autonomie de toutes et tous ?

12h30

Déjeuner sur place

14h30

Assemblée plénière

Adoption du cahier de doléances et propositions d'actions

17h30

Clôture

Échangeons ensemble au cours de ces deux jours d'interventions, de débats, de tables rondes.

Préparons ensemble ces États généraux et ces Cahiers de doléances !

Entrée avec repas le dimanche :

20 €/25 € pour les sympathisant-e-s,- bienfaiteurs-rices/

15 € pour les étudiant-e-s, chômeuses, chômeurs et titulaires du RSA

Entrée sans repas :

10 €/15 € pour les sympathisant-e-s– bienfaiteurs-rices/

5 € pour les étudiant-e-s, chômeuses, chômeurs et titulaires du RSA

S'inscrire à colcadac@club-internet.fr (chèques à l'ordre de la CADAC à envoyer au 21ter rue Voltaire, 75011 Paris).

Les inscriptions seront prises en compte dès réception du chèque.)

M 5 - T 1 : Bobigny - Pablo Picasso

 

Voici le déroulé des États Généraux

du Collectif National pour les Droits des Femmes.

Il est encore possible de s'inscrire en venant et payant sur place mais sans le repas du dimanche.

Samedi 3 décembre

Plénière du début :

Film de Denise Brial, Atalante Vidéo, sur l'année 2011

Introduction : Maya Surduts, Cndf

Présentation des ateliers : Isabelle Thieuleux, Cndf

Atelier « Violences sexuelles et quasi impunité, un phénomène inéluctable ? »

Suzy Rojtman, Cndf

Isabelle Thieuleux, Cndf

Céline Syska, juge d'application des peines

Véronique Le Goaziou, auteure de « Le viol : aspects sociologiques d'un crime »

Alice Debauche, doctorante

Kerstin Stallman, Collectif région parisienne pour les droits des femmes

Christine Fauré, auteure (entre autres) de « Encyclopédie politique et historique des femmes »

Atelier : « A l'heure du tout marchandise, où en est le droit des femmes à disposer de leur corps ? »

Nora Tenenbaum, Cadac

Maya Surduts, Cadac

Marie-Laure Brival, présidente du Collectif de soutien à la Maternité des Lilas

Willy Belhassen, sage-femme groupe naissance

Jean-Claude Chailley, Résistance Sociale/NSED

Fatima Lalem, Adjointe au Maire de Paris chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes

Jean-Claude Magnier, co-président de l'Ancic

Jocelyne Fildard, co-présidente de la Coordination lesbienne en France

Danielle Gaudry, Bureau national du Planning Familial

Atelier : « Egalité dans l'emploi : un combat de Sisyphe ? Travail, précarité, pauvreté »

Anne Chantran, Cndf

Gwenaëlle Ferré, Cndf

Danièle Kergoat, sociologue

Gisèle Moulié, syndicaliste

Martine Billard, députée

Séverine Lemière, Présidente de l'association « FIT, une femme, un toit »

Ana Azaria, Femmes Egalité

Odile Merckling,sociologue

Evelyne Perrin et de Catherine Quentier, Agir contre le Chômage

Michelle Ernis, Conseillère régionale

Birgit Hilpert, Association Pas de bébés à la consigne,

Christiane Marty,membre du Conseil scientifique d'Attac. Témoignages et de questions dont ceux des femmes de chambre du Novotel Châtelet-Les Halles qui ont fait grève récemment et de Fahima Laidoudi pour le Collectif pour des droits nouveaux et Les Indignés

Dimanche 4 décembre

Atelier « Les droits des femmes, un enjeu planétaire »

Elisabeth Ackermann, Cndf

Nicole Savy, Ligue des Droits de l'Homme

Geneviève Couraud Association NEGAR

Irène Ansari, Fédération démocratique des femmes iraniennes

Soad Baba-Aïssa, Femmes Solidaires

Claudie Lesselier, Rajfire

Françoise Morvan, Lobby Européen des femmes

Sophie Tenon, Présidente de France Amérique Latine

Sérénade Chafik , Egyptiennes pour la démocratie

Bahija Ouezini , Association féministe Tunisienne

Sabine Salmon et Malka Marcovich

Atelier Féminisme, démocratie, libertés à l'épreuve des extrêmes droites et de l'ordre moral

Maya Surduts, Cndf

Martine Noël, Cndf

Eliane Berthier, membre de la commission antifasciste du NPA

André Déchot, co-auteur (avec Michel Briganti et Jean-Paul Gautier) de l'ouvrage "La galaxie Dieudonné »

René MONZAT, journaliste

Luz MORA, syndicaliste, membre de VISA : Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes

Atelier : « Familles je vous aime, familles je vous hais »

Jocelyne Fildard, Cndf

Association Cibel

Marie Jo Bonnet, auteure (entre autres) de « Les relations amoureuses entre les femmes du 16ème au 20ème siècle »

Elisabetta Pernigotti, chercheuse associée au Cnrs

Marie Thérèse Lanquetin, juriste, chercheuse à Paris 10 Nanterre

Christiane Marty, membre du Conseil scientifique d'Attac.

Plénière de fin

Intervention de Sophie Bessis, secrétaire générale adjointe de la FIDH, Association tunisienne des femmes démocrates

Présentation des doléances des six commissions et débat

Intervention de clôture, Suzy Rojtman, Cndf.

 

 

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* Samedi 5 Novembre,

14h30, Bastille, Paris
Manifestation nationale contre les violences faites aux femmes

 


 

 

 

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6 novembre 2011

Communiqué de presse du

Collectif National pour les Droits des Femmes

 

6000 personnes ont manifesté hier à Paris contre les violences faites aux femmes, rassemblées à l'initiative du Collectif national pour les Droits des Femmes et de plus de 60 organisations signataires, associations féministes, syndicats et partis politiques de gauche et d'extrême gauche.

Avec les affaires DSK, Tron et Mahéas, est apparue au grand jour, après 40 ans de luttes des féministes contemporaines, les entraves, que nous connaissions, à la prise en compte des violences faites aux femmes en France. L'expression d'un sexisme décomplexé, l'ignorance des conséquences de ces violences, la suspicion récurrente contre les victimes, ont provoqué l'indignation des féministes et avec elles d'un grand nombre de personnes en France. Parallèlement, se manifestent des résistances évidentes à l'application de la loi du 9 juillet 2010, dernière en date des lois contre les violences obtenues grâce à la mobilisation des féministes.

C'est pour réagir de façon unitaire et massive contre cette situation que cette manifestation s'est déroulée de la Bastille à Matignon. Nous avions demandé un rendez vous au Premier Ministre . Cette demande n'a pas été honorée, nous la réitérons : la lutte contre les violences n'est pas un fait divers, c'est un phénomène sociétal qui s'appuie sur toutes les inégalités exercées à l'encontre des femmes. Elles doivent être « traitées » au plus haut niveau.

Surtout nos revendications restent entières : une loi cadre, comme en Espagne, un contrôle de l'application des lois sur les violences par le biais de la création d'une commission de contrôle multipartite : pouvoirs publics, parlementaires et associations, et que les associations féministes de soutien aux victimes conservent les missions de service public qui leur sont conférées avec notamment une augmentation de leurs moyens financiers. Nous revendiquons en outre des mesures qui ont trait à l'amélioration de la loi du 9 juillet 2010.

La lutte contre les violences faites aux femmes est un enjeu de démocratie dans notre société. Elle continuera tant que ces violences seront perpétrées.

 

Tract de mobilisation

Nous irons vers Matignon car les violences faites aux femmes concernent les pouvoirs publics dans leur globalité. Nous demandons à ce qu'une délégation soit reçue en rendez vous

 

A 16h30, il y aura 3 minutes de silence en hommage à toutes les femmes mortes, mutilées, blessées, détruites par les violences qu'elles ont subi.

Voici nos revendications, tirées de l'appel :

"Parce que les violences ne doivent pas être une fatalité pour les femmes, nous exigeons, comme en Espagne, une loi cadre contre les violences faites aux femmes.

Tout de suite nous exigeons :

 des campagnes d'information et de sensibilisation pérennes auprès de tous les publics et la mise en place d'une véritable éducation non sexiste à tous les niveaux de l'éducation nationale

 une formation spécifique et obligatoire en matière de prévention et de prise en charge des violences faites aux femmes pour tou-te-s les professionnel-le-s concerné-e-s

 la possibilité que toutes les femmes en danger de violences soient protégées, de par la loi, et non seulement celles victimes de violences conjugales ou menacées de mariage forcé.

 le changement dans le code pénal et le code du travail de la définition du harcèlement sexuel. Le harcèlement sexuel c'est, comme le dit l'Union Européenne, un « comportement non désiré à connotation sexuelle »

 la délivrance ou le renouvellement dans les plus brefs délais du titre de séjour pour les femmes étrangères victimes de violences conjugales.

 le statut de réfugié pour toute femme demandant l'asile parce victime de violences sexistes, sexuelles ou lesbophobes

l'abrogation du délit de racolage et la mise en œuvre d'une politique de pénalisation du client de la prostitution. une réelle politique de logements prioritaires pour les femmes en danger.

 la mise en place d'un Observatoire national des violences qui étudie, impulse, évalue les politiques menées

Nous exigeons aussi que des moyens soient dégagés pour permettre un contrôle de l'application des lois sur les violences faites aux femmes. Nous exigeons qu'une commission de contrôle multipartite soit mise en place où siègeraient les pouvoirs publics, des parlementaires et des associations de défense des droits des femmes.

Enfin nous exigeons que les associations féministes conservent les missions de service public auprès des victimes qui leur sont conférées, ce qui implique non seulement le maintien des moyens financiers qui leur étaient accordés mais aussi leur augmentation. Il est hors de question que l'État se désengage ! Si des missions de service public sont transférées aux collectivités territoriales, le budget doit suivre !"

Voici les signataires : Collectif national pour les Droits des Femmes, Actit-Union des Femmes Socialistes, Agir contre le chômage, les Alternatifs, Alternative Libertaire, ANEF, Apel-Egalité, Association des communistes unitaires, Association Contre le Bizutage, Association Groupe Cadre de Vie, Association pour les Droits des Femmes du 20è, Association v.ideaux/teledebout.org, Atalante vidéo, Attac, CADAC, , Centre LGBT Paris Ile de France, CGT, Les Chiennes de garde, Collectif féministe Handicap, Sexualité, Dignité, Collectif féministe contre le Viol, Collectif Féministe « Ruptures » et Réseau Féministe « Ruptures », Collectif féminin masculin de Vitry, Collectif mixité CGT des Bouches du Rhône, Collectif région parisienne pour les Droits des Femmes, Comité de vigilance et de suivi pour l'application de la loi du 9 juillet 2010, Coordination lesbienne de France, DECIL : Démocratie et Citoyenneté Locale (Mantes la Jolie), Du Côté Des Femmes ( Cergy), FASTI, Elu-e-s contre les Violences faites aux Femmes, Europe Écologie Les Verts, « Femmes libres » Radio Libertaire, Fédération nationale Solidarité femmes, Femmes solidaires, FIT, une femme, un toit, FSU, Garçes (groupe d'action et de réflexion contre l'environnement sexiste, Sciences po Paris), Gauche unitaire, Initiative des Femmes Kurdes en France, Initiative Féministe Européenne France,Intersyndicale CFDT-CGT SDFE, Lesbiennes of Color, Ligue des Droits de l'Homme, Ligue des Femmes Iraniennes pour la Démocratie, Maison des Femmes de Montreuil, Marche mondiale des Femmes, MJCF, Mouvement Jeunes Femmes, NPA, Osez le féminisme,Paroles de femmes, Parti Communiste Français, Parti de Gauche, Parti socialiste, Planning Familial, RAJFIRE, SOS sexisme, Stop Précarité, UNEF, Union syndicale Solidaires.

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